Tasse ta face, je vois pas le mont Cook!
Oups, pardon |
érigé à la mémoire d’alpinistes de la région (ou d’ailleurs) ayant laissé leurs proches dans le deuil et leur vie sur la montagne. Il m’a rappelé celui-là:
C’est un monument érigé, entre autre, à la mémoire de l’alpiniste Anatoli Boukreev. Ce monument-là, je l’ai vu au camp de base de l’Annapourna, au Népal en 2006. Si vous avez lu Into Thin Air, vous connaissez Anatoli Boukreev. Si vous êtes intéressés, je vous suggère Above the Clouds et Left for Dead qui relatent les faits de cette même (tristement célèbre) expédition sur l’Everest en 1996.
Anyway.
Sur le chemin du Mont Cook, c’était Merino-land. On traversait les champs où chillent (oui oui, chillent du verbe du premier groupe chiller, comme dans je chill en sale en NZ) les moutons dont la laine est utilisée pour fabriquer, entre autres, les vêtements IceBreaker. Si vous en portez, je soupçonne que comme moi vous n'êtes plus capable de vous en passer. Non seulement ces vêtements ne gardent pas les odeurs mais ils sont d'un confort...ah! Je dirais même qu'ils ont un méta-confort, c'est-à-dire que juste à penser au confort que je vais ressentir en l'enfilant, je suis déjà confortable.
On a depuis longtemps falsifié le mythe, la croyance, voulant que ces vêtements produits ici soient, nécessairement, moins chers ici. Oué oué, mais nenon finalement. Une veste sans-manche? 400 $. Thank you, come again.
Et! On a aussi vu pas un, mais bien DES cygnes noirs (bon. l’énumération est inutile puisqu’il n’en suffit que d’un seul, d’un point de vue philosophique, mais enfin.). C’est Anne qui les a aperçu. Photo à l’appui:
Notre soirée au mont Cook, on l’a passée étendus dans le vaisseau à regarder les étoiles. On s’est aussi dit qu’un toit ouvrant, c’est une maudite belle invention.
Demain, on va aller marcher au pied du glacier et visiter le Edmund Hillary Alpine Centre avant de reprendre la route pour Kaikoura et bientôt, la grimpe!
Ah oui et on a vu une brebis, un peu affolée et égarée au milieu de la route, foncer tête baissée dans une clôture sur le chemin du retour.
C’était hilarant.
Et aujourd’hui, on a fait notre première grimpe, à Payne’s Ford. À bientôt!
C’est un monument érigé, entre autre, à la mémoire de l’alpiniste Anatoli Boukreev. Ce monument-là, je l’ai vu au camp de base de l’Annapourna, au Népal en 2006. Si vous avez lu Into Thin Air, vous connaissez Anatoli Boukreev. Si vous êtes intéressés, je vous suggère Above the Clouds et Left for Dead qui relatent les faits de cette même (tristement célèbre) expédition sur l’Everest en 1996.
Anyway.
Sur le chemin du Mont Cook, c’était Merino-land. On traversait les champs où chillent (oui oui, chillent du verbe du premier groupe chiller, comme dans je chill en sale en NZ) les moutons dont la laine est utilisée pour fabriquer, entre autres, les vêtements IceBreaker. Si vous en portez, je soupçonne que comme moi vous n'êtes plus capable de vous en passer. Non seulement ces vêtements ne gardent pas les odeurs mais ils sont d'un confort...ah! Je dirais même qu'ils ont un méta-confort, c'est-à-dire que juste à penser au confort que je vais ressentir en l'enfilant, je suis déjà confortable.
Mais clairement pas autant que lui (le mouton on s'entend). By the way, ça, c'est Shrek le Merino. Vous demanderez à google de rassasier votre curiosité. |
Merino-land. Agrandissez. Je pense qu'on pourrait passer au moins un été complet à jouer à saute-mouton. |
Et! On a aussi vu pas un, mais bien DES cygnes noirs (bon. l’énumération est inutile puisqu’il n’en suffit que d’un seul, d’un point de vue philosophique, mais enfin.). C’est Anne qui les a aperçu. Photo à l’appui:
Notre soirée au mont Cook, on l’a passée étendus dans le vaisseau à regarder les étoiles. On s’est aussi dit qu’un toit ouvrant, c’est une maudite belle invention.
Demain, on va aller marcher au pied du glacier et visiter le Edmund Hillary Alpine Centre avant de reprendre la route pour Kaikoura et bientôt, la grimpe!
On a marché jusqu'au pied des glaciers. Enfin, l'un des glaciers parce qu'il y en avait pas mal... |
C’était hilarant.
Et aujourd’hui, on a fait notre première grimpe, à Payne’s Ford. À bientôt!
Est-ce que Shrek peut se déplacer? Assurément de façon féline!
RépondreEffacerJe crois que sa laine est assez épaisse: il doit se déplacer en faisant des tonneaux!
RépondreEffacerJe crois plutôt qu'il se déplace en bondissant...
RépondreEffacerplausible!
RépondreEffacer