Alors! On est en Nouvelle-Zélande, tout baigne. Sommes arrivés à 2:00 AM le matin du 5 mars. Réveil soudain à 7:30 AM.
Sous un beau lever orangé |
Prise de possession de notre camper van - et toute une bagnole vous verrez. Achats de camping (corde d’escalade - Béal 60m, 9.8mm, carburant pour le brûleur, etc.).
Départ pour Jackson’s Retreat pour le rendez-vous avec les parents de Anne. Conduite à droite (ou à gauche - selon que vous considérez la perspective volant ou voie de circulation) pas instinctive. Épicerie particulièrement chère.
Traversée de Arthur’s Pass. Descentes et montées fortement inclinée (usage du low gear nécessaire). Paysages à couper le souffle - j’ai l’impression qu’avec les journées de visites qui vont s’accumuler, ces paysages entreront dans l’ensemble du ‘bah...comme d’hab’. Faudra éviter de se laisser être blasés.
Le long de la route, beaucoup de moutons et de porcs (qui reçoivent, et j’étais préoccupé par la route mais selon Anne, un traitement 5 étoiles comparativement à leurs cousins du Québec) et de vache oréos.
(Malheureusement, on n'a pas de photos vaches oréo. Mais je soupçonne qu'à tirer sur le pis, ce sont des biscuits qui vont sortir.)
La bière que Gilles et Louise m’ont tendue à mon arrivée était vraiment, mais alors vraiment, bonne: près de 40 heures combinées de vol et de transit, achat imprévu (le 700 $ que j’ai dépensé de la plus désinvolte des manières de toute ma vie) de deux billets d’avion supplémentaires (Air New Zealand a merdé et j’ai dû parcourir le terminal à la course d’un bout à l’autre pour nous embarquer sur un vol en partance pour Christchurch - je vous épargne les détails), manque de sommeil, bla bla bla.
Vous connaissez la combine si vous êtes déjà parti en voyage avec l’idée de sortir de votre zone de confort. Seule ombre au tableau: Anne n’avait toujours pas reçue ses bagages.
Pluie le lendemain. On ne s’est pas plaint: on a dormi. On est particulièrement confortable dans le véhicule.
Courte randonnée en fin de journée. Sommes allés jusqu’à la chute au flanc des montagnes. Sur le chemin du retour, on a décidé d’aller visiter la petite mine de quartz. Les filles ont fait demi-tour rendues au ruisseau en crue (c’est escarpé la Nouvelle-Zélande, ce qui veut dire qu’à flanc de montagne, quand il pleut, c’est pas très long avant que toute cette eau se retrouve à remplir les ruisseaux - mes potes pagayeurs connaissent les bienfaits du phénomène).
Gilles et moi avons continué jusqu’à la mine. Lorsqu’arrivés à une fourche qui nous envoyait à la mine si on tournait à droite, ou à la taverne si on allait à gauche, on a tourné à gauche.
La soif moniteur...
On s’entend que si l’âne de Buridan avait eu à choisir entre une mine et de la bière, il serait encore vivant!
Lors de notre retour, les filles avaient déjà ouvert le vin (!) et Anne avait retrouvé ses bagages.
Après avoir résolu le casse-tête et placer ça dans le vaisseau (c’est quand même 20kg de matériel relativement volumineux - 65L - de plus), Gilles et Louise nous ont offert un bon souper.
L’agneau était succulent!
Demain, on reprend la route et c’est les glaciers! Yah yah yah!
Vous connaissez la combine si vous êtes déjà parti en voyage avec l’idée de sortir de votre zone de confort. Seule ombre au tableau: Anne n’avait toujours pas reçue ses bagages.
Pluie le lendemain. On ne s’est pas plaint: on a dormi. On est particulièrement confortable dans le véhicule.
Courte randonnée en fin de journée. Sommes allés jusqu’à la chute au flanc des montagnes. Sur le chemin du retour, on a décidé d’aller visiter la petite mine de quartz. Les filles ont fait demi-tour rendues au ruisseau en crue (c’est escarpé la Nouvelle-Zélande, ce qui veut dire qu’à flanc de montagne, quand il pleut, c’est pas très long avant que toute cette eau se retrouve à remplir les ruisseaux - mes potes pagayeurs connaissent les bienfaits du phénomène).
Gilles et moi avons continué jusqu’à la mine. Lorsqu’arrivés à une fourche qui nous envoyait à la mine si on tournait à droite, ou à la taverne si on allait à gauche, on a tourné à gauche.
La soif moniteur...
On s’entend que si l’âne de Buridan avait eu à choisir entre une mine et de la bière, il serait encore vivant!
Lors de notre retour, les filles avaient déjà ouvert le vin (!) et Anne avait retrouvé ses bagages.
Après avoir résolu le casse-tête et placer ça dans le vaisseau (c’est quand même 20kg de matériel relativement volumineux - 65L - de plus), Gilles et Louise nous ont offert un bon souper.
L’agneau était succulent!
Merci Gilles et Louise |
Demain, on reprend la route et c’est les glaciers! Yah yah yah!
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